fr:lang="fr-FR"
1
1
https://www.panoramaaudovisual.com/en/2010/05/06/radiografia-a-la-nueva-ley-general-de-la-comunicacion-audiovisual-y-iv/

Nous concluons cette radiographie à la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle en s'arrêtant dans ce qui sera le futur Conseil d'État des médias audiovisuels (CEMA), une autorité indépendante, superviseure et réglementaire de l'activité de la propriété des médias de l'État ou qui sont en compétence. Parmi ses fonctions, notamment le passage du catalogue des événements d'intérêt général; Assurer un marché audiovisuel compétitif, transparent et fiable; Arbitrer dans les conflits possibles et établir les sanctions qui pourraient être dérivées de la violation de la loi.

Avec des années de retard, et a notamment réduit les fonctions que le gouvernement avait initialement planifiées, la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle (7/2010 du 31 mars) qui est entrée en vigueur le 1er mai a placé les fondations de ce qui sera le futur Conseil d'État des médias audiovisuels (CEMA) en tant que compétence indépendante, superviseure et réglementaire de l'activité des médias de l'État ou qu'ils sont sous leur compétition, superviseur et réglementaire.

Le CEMA est soulevé en tant qu'organe réglementaire, déconnecté hiérarchiquement de l'administration centrale de l'État, qui génère un cadre d'indépendance à la fois de la situation politique différente et des entreprises et des groupes d'entreprises pour l'exercice de leur activité. Pour garantir son indépendance, la loi fournit le Conseil du patrimoine et l'autonomie financière correspondante, basée sur le financement par le biais de frais, dont la gestion et la collecte dans une période volontaire correspondront au Conseil d'État des médias audiovisuels lui-même.

Structure

Le CEMA sera composé d'une présidence, d'une vice-présidence et de sept conseils. Le président et les conseillers seront nommés par le gouvernement par décret royal lors de la proposition du Congrès des députés, approuvées par la majorité des trois cinquièmes parmi les personnes de compétence reconnue en matière liée au secteur audiovisuel.

Le texte prévoit que les directeurs "seront élus parmi les personnes de compétence reconnue en matière liée au secteur audiovisuel dans tous leurs aspects". Le mandat des membres du comité de gestion durera six ans, pouvant être renouvelé pour la même période.

Comité exécutif

La loi établit au sein de la CMA la création d'un comité exécutif dirigé par le président du Conseil de médias audiovisuel de l'État. Le secrétaire du comité de gestion en fera également partie sans le droit de vote.
Les membres seront nommés au nom des fournisseurs du service de communication audiovisuelle des associations de niveau d'État et de défense des utilisateurs des services de communication audiovisuels, avec une représentation accréditée au niveau de l'État.

Il sera convoqué au moins deux fois par an afin d'être périodiquement informé par le comité de gestion des actions développées par elle.

Fonctions CEMA

Le Conseil des médias audiovisuels de l’État est soulevé en tant qu’autorité, quelque peu «décaféinée» dans l’avis de certains et trop interférente dans celle d’autres, avec des compétences comparables aux autorités des pays de notre environnement européen, mais sans compétence en termes d’octroi de licences.

Parmi les fonctions que la loi générale de la communication audiovisuelle se réserve pour le Conseil d'État des médias audiovisuels, il souligne les mesures appropriées qui garantissent la pleine efficacité des droits et obligations établies dans le texte de la loi.

Le CEMA sera également en charge de l'approbation du catalogue des événements d'intérêt général pour la société, recevra l'activité préceptive Start Communications (à jour le dossier de l'État des prestataires) et éclaire les spécifications des concours pour l'octroi de licences, décider de leur renouvellement et autoriser la célébration des entreprises juridiques.

D'un autre côté, l'AMC doit surveiller la maintenance d'un marché audiovisuel compétitif, transparent et fiable dans les systèmes de mesure de l'audience, ainsi que pour la réalisation de la mission de service des fournisseurs du service public audiovisuel et de l'adéquation des ressources publiques attribuées à l'informatique. Dans les questions liées à la concurrence, la naissance de la CMA soulagera les attributions à la Commission du marché des télécommunications dans ce domaine.

Du point de vue technologique, ce sera également la compétence de l'AMC pour évaluer les effets de l'introduction de nouvelles technologies ou plateformes, en établissant si les modifications possibles dans la définition et l'expansion de la détention des services publics sont nécessaires.

Dans le cas où des conflits entre les prestataires, les producteurs, les fournisseurs de contenu, les détenteurs de canaux ou les fournisseurs de services de communication audiovisuels peuvent survenir, le Conseil peut médier et arbitrer tant que les parties impliquées sont d'accord.

Enfin, il conseillera les tribunaux généraux, le gouvernement et les organismes de réglementation pertinents en matière liée au secteur audiovisuel.

Sanctions

Le nouveau Conseil audiovisuel des médias émerge de la Constitution en tant qu'organe avec le pouvoir de sanction.

Le droit général de la communication audiovisuelle établit trois niveaux de sanctions car ils sont très graves, graves ou légers. Des infractions très graves seront sanctionnées avec une amende de 500 001 à 1 000 000 euros pour les services de communication audiovisuels télévisés et 100,001 à 500 000 pour la radio.

Les infractions graves seront passibles de 100 001 à 500 000 euros pour les services de communication audiovisuels de télévision et de 50 001 à 100 000 pour la radio. Les moyens sont marqués par des amendes allant jusqu'à 100 000 euros pour la communication télévisée et jusqu'à 50 000 pour la radio.

Il est frappant que, en ce qui concerne la sanction, il est dispensé avec le chiffre du juge dans un sujet aussi délicat que le contenu qui pourrait brosser "la haine, le mépris ou la discrimination pour la naissance, la race, le sexe, la religion, la nationalité, l'opinion ou toute autre circonstance personnelle ou sociale".

La nouvelle loi mentionne uniquement que, comme toutes les dispositions administratives, il y aurait une possibilité de recourir à des sanctions possibles par une voie litigieuse.

Accéder à un Radiographie à la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle (III)

Accéder à un Radiographie à la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle (II)

Accéder à un Radiographie à la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle (i)

La loi audiovisuelle, complètement le 1er juin

Le 1er juin, l'Institute of Business Development avec le soutien de l'Audiovisual Panorama organise à l'hôtel Westin Palace à Madrid une journée où la nouvelle loi générale de la communication audiovisuelle sera analysée en dessinant le cadre juridique pour la fourniture de services audiovisuels, l'impact de ces réglementations sur les contenus, parmi les autres problèmes.

Fernando Castillo (Ministry of Industry, Tourism and Commerce), Raúl Rubio (Landwell-PricewaterhouseCoopers), Lola Molina (TVE), Esperanza Martín (LASEXTA), Ignacio Fernández-Vega (Telefónica de España), Alfonso Sánchez Izquiero (CRTVG-Forta), Eduardo García Matilla (Multimedia Corporation), José Miguel García-Gasco (Grupo Antena 3) (SOGECABLE) et José Antonio Ortega (PricewaterhouseCoopers) sont quelques-uns des orateurs qui participeront à ce jour.

Plus d'informations ici.

Cet article vous a plu ?

Abonnez-vous à notre BULLETIN Et vous ne manquerez rien.

Autres articles sur , ,
Par • 6 May, 2010
•Section: Affaire, Radio, Télévision